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24 octobre 2019

Saint Isidore

IMG_9238En faisant une recherche pour mon travail pour reconnaître ce saint j'ai découvert un saint Isidore que je ne connaissais pas : saint Isidore le Laboureur.

Et j'ai aussi découvert, ce qui vous intéressera sans doute plus qu'un saint patron d'internet a été désigné : saint Isidore de Séville (mort en 636)

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20 octobre 2019

Anniversaires et 40 ans

C'est fou ce qui a été créé dans les années 1970 et particulièrement en 1974... Alors, cette année on a fêté, en vrac, le 40e anniversaire de

- L'Ile aux Enfants (c'est-à-dire de Casimir).

- Picard

- des playmobils

- quelques chansons :

- quelques films (date de sortie) :

- Marnie, votre serviteur...

- de la naissance de Leonardo Di Caprio, Robbie Williams, James Blunt, Christian Bale, Sébastien Loeb, Victoria Beckham, Olivier Besançenot, Penelope Cruz, Alexandre Astier, Doc Gynéco, Marie Drucker et Mazarine Pingeot.

- du décès de Henry de Monfreid, Marcel Pagnol, Duke Ellington, Darius Milhaud, Gino Cervi (=Peppone), Francis Blanche, Georges Pompidou, Charles Lindbergh, Vittorio de Sica, Oskar Schindler.

(un léger déficit en talent entre naissance et décès à mon humble avis)

- la fin de l'ORTF avec la création de FR3,

- la révolution des Oeillets au Portugal,

- la découverte de Lucy,

 

 

Si on va plus loin

 

14 octobre 2019

La croisière s'amuse...

A priori, je n'avais jamais envisagé faire une croisière un jour. D'abord parce que je n'apprécie pas le concept du voyage organisé, et la croisière en est une forme. Ensuite, parce ce que les bateaux actuels sont plutôt des immeubles que de fins et élégants transatlantiques (Normandie, France, etc). Egalement parce que ce type de bateau a un coût écologique et parce que le low cost repose sur l'exploitation des employés. Sur ces 2 derniers points, le débat s'engage (j'ai fait mes petites recherches) : de gros progrès ont été faits en matière de protection de l'environnement par ces bateaux quant au traitement des eaux usées, déchets, aux types de moteurs...etc... Le navire sur lequel j'ai vogué a été fabriqué dans les Chantiers de l'Atlantique à St Nazaire, j'imagine selon un certain savoir-faire de qualité, et certaines normes... Le discours officiel du croisiériste est très orienté sur les efforts en matière d'environnement. Je reste prudente face à tout ça, mais de toutes façon, en tant qu'Occidentale, j'ai un mode de vie ultra-polluant... que ce soit en ville ou sur l'eau...

Sur les employés : je détiens mon savoir de reportages télévisuels et j'ai essayé de poser des questions sur le bateau. J'ai d'ailleurs participé à la visite des coulisses du bateau (qui n'intéressait qu'une trentaine de personnes sur les plus de 2500 passagers...). Je n'ai pas vu les machines, mais un a

 

Ce que je n'ai pas aimé :

- dîner à horaire fixe et obligé,

- le côté club de vacances sur le pont,

- la durée trop courte des excursions.

Ce que j'ai aimé :

- voguer sur la mer et ainsi profiter des paysages marins à toute heure : de l'aube au crépuscule.

- le luxe et le confort d'avoir un hôtel qui va de port en port, de pays en pays, de site en site,

- l

12 octobre 2019

Agrigente sur les pas de Maupassant...

Outre la découverte de la navigation en mer, cette croisière a été pour moi l'occasion de découvrir (malheureusement en ne faisant que les effleurer) des sites que je ne connaissais pas encore.

J'aurais aimé découvrir l'Europe avant les guerres, avant le béton, avant le tourisme de masse, découvrir l'Europe telle que l'ont découverte les jeunes anglais des XVIIIe et XIXe siècles, les écrivains français du XIXe. C'est pourquoi j'aime tant les récits de voyage, et les documents iconographiques de cette époque, comme par exemple les très célèbres vues de l'Egypte, de ses villes, de la vallée du Nil, des temples, par David Roberts.

"Tant de poètes ont chanté la Grèce que chacun de nous en porte l'image en soi ; chacun croit la connaître un peu, chacun la voit en songe telle qu'il la désire. Pour moi, la Sicile a réalisé ce rêve ; elle m'a montré la Grèce et quand je pense à cette terre si artiste, il me semble que j'aperçois de grandes montagnes aux lignes douces, aux lignes classiques, et sur les sommets des temples, ces temples sévères, un peu lourds peut-être, mais admirablement majestueux, qu'on rencontre partout dans cette île.

 

"Mais Girgenti, l'ancienne Agrigente, placée comme Sélinonte sur la côte sud de la Sicile, offre le plus étonnant ensemble de temples qu'il soit donné de contempler."

 

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Par rapport au récit de Maupassant, quelques différences majeures existent aujourd'hui : l'une, négative, est la ville moderne d'Agrigente, hérissée d'immeubles inesthétiques au possible qui gâche vraiment la vue sur l'éperon rocheux des temples.

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L'autre, positive, est le paysage de la campagne entourant le site : elle n'est plus aride, elle est au contraire étonnament verte et se couvre d'arbres méditerranéens : champs d'amandiers, d'oliviers.

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Guy de Maupassant, extraits de la chronique "Temples grecs" parue dans Gil Blas le 8 septembre 1885.

2 octobre 2019

La belle rentrée du cinéma français

Il y a bien longtemps que je ne vous ai pas parlé cinéma... et pourtant j'ai vu pas mal de films en juillet, août et septembre. Des anciens et surtout des nouveaux, avec une belle moisson du côté du cinéma français en septembre. Le cinéma américain est beaucoup trop au blockbuster et aux supers-héros ces temps-ci, ce qui ne m'attire pas du tout... Heureusement la variété est européenne ou proche-orientale, ou à chercher dans le passé. Alors voici un petit récapitulatif des films que j'ai vus en salles durant l'été et jusqu'à cette fin septembre : en raison du grand nombre de films, je n'en dirai à chaque qu'un petit mot.

Nouveautés

Les films français sont ceux que j'ai le plus appréciés, pour leurs qualités visuelles, leur écriture et leur interprétation. Trois films ô combien différents qui rassurent sur la capacité de créativité de nos auteurs.

- La guerre est déclarée. Une histoire éprouvante traitée légèrement comme l'ont dit tous les critiques avant moi. Une manière très "Nouvelle vague" et particulièrement truffaldienne (voix off, musique de Delerue, ellipses et jeu des acteurs) agrémentée de toutes sortes de trouvailles de mise en scène ou technique originales dans leur accumulation. Une variation usant très efficacement de la musique et des chansons pour souligner une aventure humaine que personne ne souhaite connaître : la lutte contre la maladie de son enfant. Une plongée marquante dans l'univers de la maladie, invasive et injuste, avec en point d'orgue la question essentielle : pourquoi ?

- Tu seras mon fils. Un très beau film de facture classique dont l'interprétation est en tous points magistrale et dont l'histoire cruelle de bout en bout vous bouleverse. En plus, là aussi, une plongée passionnante et envoûtante dans le monde méconnu et fantasmé de la viticulture bordelaise.

- Les bien aimés. Mon premier film de Christophe Honoré. C'est le jeu de Chiara Mastroianni qui m'a surtout emballée ici, ainsi que l'histoire qui tourne autour de son personnage. Ludivine Sagnier m'a un peu horripilé. Le seul film dans lequel elle m'a convaincue est "Crime d'amour".

Du bon film américain de production courante, qui se laisse voir, qui donne du plaisir, qu'il s'agisse de suspens de science fiction, de comédie un peu grasse ou de comédie romantique, mais qui use de ficelles qu'on commence à connaître par coeur... 

- Super-8

- Comment tuer son boss

- Crazy, stupid, love.

Mais du moins, cela permet de se détendre entre deux sujets lourds français... ou étrangers, j'ai nommé Melancholia et Tree of life dont j'ai déjà un parlé ici.

- Une séparation. Que dire qui n'a pas été dit sur ce film passionnant, universel et soulevant des dizaines de questions philosophiques. Et une grande compassion pour les femmes iraniennes et en général pour les femmes voilées : en plus de subir les difficultés universelles de la vie (divorce, difficultés économiques, maladie...) elles subissent la double peine de cet enfermement inique et abusif qui les humilie et les rabaisse en permanence.

- La piel que habito

- Habemus papam

Ressorties

- Le mépris : monument de la Nouvelle vague que je n'avais encore jamais vu mais dont je connaissais déjà par coeur la magnifique musique de G. Delerue. Un exercice de style visuel qui ouvrait plein de portes à la création cinématographique, un hommage au cinéma et à sa  la rencontre de deux mythes, l'un naissant, l'autre consacré : BB et F. Lang.

- A la recherche de Garbo

- Le mur invisible

 

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21 septembre 2019

Bilan ciné de septembre : la belle rentrée du cinéma français

Habemus papam = Déçue et trompée sur la marchandises. Je m'attendais à un film confrontant, sur le ton de l'humour, la psychanalyse à la religion, offrant de belles joutes oratoires.

1 septembre 2019

Visages de Palerme (2)

En attendant de vous montrer les visages de la ville, voici quelques regards croisésIMG_0138

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20 août 2019

La danse macabre de Saint-Saëns

J'ai découvert véritablement la "Danse macabre" de Camille Saint-Saëns (1835-1921) dans le film "La règle du jeu" de Jean Renoir (1935). Comme tout morceau célèbre, la ritournelle principale ne m'était pas inconnue. Mais son utilisation saisissante dans le film me l'a vraiment mise dans la tête et m'a donné l'envie de l'écouter en entier. C'est un poème symphonique que le compositeur créa en 1874 d'après le poète Henri Cazalis.

 La version pour orchestre ici présentée n'est peut-être pas la plus parfaite, mais j'aime bien la façon dont chaque partie de l'orchestre est filmée à bon escient au fil de l'oeuvre.

15 juin 2019

Oh boy

C'est juste l'histoire d'un jeune homme à la dérive pendant 24 h dans un Berlin qui ressemble au New York de "Manhattan" de Woody Allen, sans la musique de Gershwin mais avec de petits airs de jazz qui rappellent ce réalisateur. Il y a aussi l'influence criante de la Nouvelle Vague, entre "Ascenseur pour l'échafaud" et la saga d'Antoine Doinel.

Le poids du nazisme est toujours là et pèse toujours sur les épaules des générations actuelles qui sont à la fois loin et proches de ce passé honteux. Car les jeunes allemands qui ne savent où ils vont, qui ne trouvent pas leur voie, qui errent un peu entre études et travail, peuvent en plus culpabiliser en se disant "comment me plaindre alors que ma génération est dorée par rapport à ce que mon pays a vécu il y a 70, 80 ans maintenant". Comment glander en bonne conscience quand on a "tout ça" derrière soi ?

27 avril 2019

Retour en Espagne

A Turre :

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A Vera :

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A Mojacar :

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